Laure de Paillerets
artiste plasticienne
Les Carnets chinois sont nés d'un voyage à Pékin en 2004:
C'était un endroit parfait pour perdre ses repères.
La ville ancienne était grise et mate, dense et mystérieuse avec ses Hutongs cachés dont les portes étaient décorés de couches de papiers porte-bonheur. Mais elle disparaissait chaque jour au profit d'une ville moderne de constructions froides et rigides, abusant de l'effet miroir, en parfaite contradiction avec l'esthétique ancienne. Qu'en est-il maintenant, je ne sais pas.
C'était un endroit parfait pour perdre ses repères.
La ville ancienne était grise et mate, dense et mystérieuse avec ses Hutongs cachés dont les portes étaient décorés de couches de papiers porte-bonheur. Mais elle disparaissait chaque jour au profit d'une ville moderne de constructions froides et rigides, abusant de l'effet miroir, en parfaite contradiction avec l'esthétique ancienne. Qu'en est-il maintenant, je ne sais pas.